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Bernard Werber - 28-10-2006 - Ce que Paf pense de...


Il y a un an demi (vous allez finir par le comprendre, que je fête les 18 mois de mon skyblog...) je vous disais que j'étais fan de bernard werber.

Monsieur Werber est aujourd'hui l'auteur d'une tripotée de bouquin, et j'ai fais il y a peu l'acquisition de son dernier-né : Le Papillon des étoiles.

Couverture de son nouveau livre Un livre qui a le mérite d'imaginer une expédition "réaliste" a travers l'espace, dans le but de coloniser une autre planète. Pourquoi réaliste ? et pourquoi les guillemets ? Réaliste parce que le vaisseau va certes très très vite (excusez le manque de précision) le voyage est quand même censé durer 1000 ans. Et les concepteurs du projet prévoient donc d'envoyer suffisement de monde pour que les générations se succèdent sans qu'il y ait trop de consanguinité, résultat : 144.000 personnes s'envolent donc à bord d'un "voilier solaire" ("Enfant du soleil, tu parcours la terre le ciel, cherche ton chemin, c'est ta vie c'est ton destin") pour un voyage dont ne verrons la destination que leur petits-petits-petits-petits-pe....tits-petits enfants.

Voilà le postulat de base, soigneusement amené, rien à redire.

Ce livre, c'est du Werber tout craché, et je dis pas ça pour rire. On reconnaît ses figures de styles, ses traits de philosophie, sa curiosité scientifique omniprésentes, son sens de l'anecdote, notamment sur les fourmis d'ailleurs... l'héroïne est toujours rousse (il doit fantasmer sur les rousses...), le héros est toujours un rêveur/idéaliste/paumé mais parce qu'il trop intelligent/sensible...

J'avais beaucoup apprécié, dans les thanatonautes, le nombre de références religieuses. J'avais tout autant aimé, dans le père de nos pères, les parallèles que l'auteur fait entre une enquête et les passages de la bible. Seulement là, dans le Papillon des étoiles, ça sent le remaché, et il n'y a plus de subtilité.

En gros, ce que je reproche à ce livre, c'est que quand on a lu ses autres livres, on peut presque l'écrire à sa place, celui-là. Certains passages semblent extraits mots pour mots de ces autres parutions... décevant.

Werber, dès son premier bouquin, énonce "Il faut penser autrement", et bien il ferait bien de s'écouter parler...


J'attends avec impatience le 3e volet du cycle des Dieux, pour laver tout ça ^^

Il frime, regardez-le





Elromanozo
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Face à Bernard Werber, le dernier espoir, c'est la fuite. Ses romans sont d'ailleurs les fuites intestinales de son cerveau diarrhéique. Hi hi ! Non, je suis vraiment méchant. Je n'en ai lu qu'un (sur les fourmis) et je n'ai pas trop aimé, mais j'aurai de la chance si je vendais moitié autant de bouquins malgré ma calvitie...
Commentaires : 32 | Classement : 2/33
Commentaire écrit le 28/10/2006 à 20:58:58

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